pwem : poom : poezie Une pièce multilingue d'écriture collaborative contrainte par Annie Abrahams. Réalisé en collaboration avec Jan de Weille.
txt, nouveau texte, texte archivé pas plus de 200 caractères à la fois nouveau texte, nouveau texte, nouveau texte une incitation, une réaction, une proposition, une provocation J'aime écrire avec les autres, j'aime lire ce que les autres écrivent, j'aime les textes déformés, j'aime les cut-ups, dada, les spoken words... le vieil internet, le net art et l'intimité. J'aime défier, deviner, comprendre, ne pas savoir en amont, voir des merveilles dans l'incohérence, dans le désordre. Je revisiterai souvent, je lirai, j'écrirai avec et dedans. Annie Abrahams, basée à Montpellier, France, a une pratique artistique qui serpente entre la recherche et la performance. Dans son art soigneusement scénarisé, elle tend à révéler des comportements humains ordinaires et développe ce qu'elle appelle une esthétique de la confiance et de l'attention. Elle s'intéresse aux pratiques collaboratives comme lieu d'apprentissage d' " être avec ", et considère le comportement comme le matériau esthétique de son art. Dans des projets comme Angry Women (2011-), Distant Movements (2018-), Constallationsss (2018-) et Utterings (2019-), Abrahams questionne les possibilités et les limites de la communication en général et, plus spécifiquement, étudie ses modes dans des conditions du réseau. https://bram.orgJe suis née à Birmingham, au Royaume-Uni, en 1988; j’y vis et y travaille. Je suis une artiste qui travaille principalement avec la photographie, le texte/les mots-clics, la danse, la vidéo et la performance.
J’ai terminé mon premier projet d’autoportrait en 2010. Depuis, je suis le sujet principal dans mon œuvre personnelle. J’explore souvent les thèmes que j’explore de la dissimulation et de l’exposition, de l’image corporelle, de l’estime de soi, de la confiance en soi et de l’anxiété, bien que récemment mon travail ait également porté sur la grossesse et la maternité. Ma pratique artistique est très thérapeutique et grâce à elle, j’apprends à m’accepter et à accepter mon corps, tout en prenant confiance en moi. Cela m’aide également à traiter mes pensées et mes sentiments, ainsi qu’à documenter ma vie. Après avoir donné naissance à ma fille (B) en juin 2020, j’ai décidé de créer un blogue, Jockey Greys (une correction automatique de mes deux prénoms – Jocelyn Freya). Jusqu’à présent, le blogue Oh Me, Oh Mãe a présenté surtout des travaux de ma série portant sur le fait de devenir mère. J’ai pour objectif de réaliser deux séances photographiques par semaine pour le projet; chaque séance est accompagnée d’un maximum de 30 mots-clics, soit la limite maximale d’Instagram par publication. Dans ce cadre, j’essaie de parler le plus honnêtement possible de mon expérience, comme si je remplissais un journal intime où j’aborde ça représente de devenir une mère pendant la pandémie. Mon format de publication de blogue typique est composé d’une image photographique, de mots clic puis d’un développement rédigé selon ces derniers. Quelques-unes des sous-séries du projet sont des portraits de famille (où le visage de B est généralement masqué à l’aide de Photoshop), « portrait d’une mère d’un bébé de ___ mois » et « Imiter B ___ » (mon thème préféré issu du désir de ne pas montrer son visage). Je veux attendre qu’elle soit assez âgée pour décider si elle veut que son visage soit vu, ou non. J'ai terminé le projet, Oh Me, Oh Mãe, en mai 2021, quand j'ai découvert que j'étais enceinte encore et que j'ai depuis je crée et partage des photographies sur la grossesse et le fait d'être mère dans une nouvelle série intitulée Waiting For Things In A Time When You Wait For Things. Les tournages et les articles de blog suivent le même format que Oh Me, Oh Mãe, avec une section supplémentaire où je compare les images et les mots-clics à la même étape de mes grossesses. Avant de commencer Oh Me, Oh Mãe, j'ai documenté ma grossesse avec B dans une série, Waiting For Things In A Time When You Rarely Wait For Things, que j'avais intitulé avant la pandémie de Covid-19. J'ai également pris des photos de moi-même après avoir été malade à cause des nausées matinales dans un projet appelé Puke Portraits, qui a depuis été suivi de Puke Portraits II. jocelynallen.co.ukKaja Cxzy Andersen née en 1985, Stavanger, Norvège) crée des sculptures, des installations et les oeuvres basés sur internet, parfois combinés avec des éléments performatifs. S'inspirant de la culture en ligne, des mythologies et des rituels banaux quotidiens, son travail peut être considéré comme une réflexion humoristique du quotidien post-internet.
Andersen est titulaire d'un MFA de la School of Visual Arts de New York (2016) et d'un baccalauréat en art contemporain de l'Académie de l'Art de Tromsø (2011) Me Andersen travaille actuellement de New York. www.kajacxzyandersen.comSara Bezovšek (1993) est une artiste visuelle active dans les domaines des nouveaux médias, du cinéma expérimental et du design graphique.
Sa pratique artistique se caractérise par l’exploration, la collecte et le stockage de références visuelles principalement pop culturelles provenant de diverses plateformes en ligne, de films et de séries télévisées. En utilisant la technique du copier/coller, elle combine le matériel numérique trouvé, notamment, sur des pages Web, dans des collages et des collages composites vidéo, créant ainsi de nouveaux récits par appropriation. Ce faisant, elle s’intéresse à ce que les gens voient et partagent sur les réseaux sociaux, comment le matériel visuel voyage sur le Web, comment il change et affecte les utilisateurs. En utilisant des images numériques familières à l’internaute mondial, elle souhaite décrire l’influence des phénomènes et clichés en ligne et des références emblématiques de la culture populaire sur notre perception. La quantité dense de courts extraits de séries et de films connus, de GIF animés, de « mèmes », de vidéos et d’autres images provenant de plateformes en ligne crée un sentiment de superposition, car le spectateur peut lire un certain nombre d’associations parallèles, liées à la reconnaissance de matériel individuel, en plus de l’histoire de base. Page web: www.sarabezovsek.comAndy Heck Boyd, né 1981, au Kentucky (É.-U). a brièvement suivi des cours de télévision/vidéo et de cinéma au New England Institute of Arts and Communications à Boston, au Massachusetts, et au Rockport College à Rockport, dans l’État du Maine. Handicapé, il consacre ses journées à créer de l’art.
Mon travail est le résultat du destin, de la fusion et de l’exagération volontaire des aspects de la vie, de ma vie – de près ou de loin – et ce, même si je les ai délibérément cherchés ou rencontrés, qu’il s’agisse de personnes, de lieux de situations, d’objets, de cultures, etc.
La polarisation de ces fonctionnalités dans mon travail et la façon dont je parviens à les fusionner harmonieusement grâce au montage vidéo créent une expérience de suspense continu et de joie addictive pendant toute la durée de l’image en mouvement, quelle que soit la longueur de l’œuvre. J’appelle « Sci-fi/documentary » l’inévitable produit caractéristique de la fiction consistant à documenter des êtres humains immodérés et sans restriction. J’ai hâte de rendre les gens plus conscients de leur contexte et de les encourager à l’accepter comme le plus magique de tous les mondes possibles afin de le parcourir le plus poétiquement possible. Artiste multidisciplinaire né à Mexico, je travaille à New York. Je détiens un baccalauréat en philosophie de l’Universidad Iberoamericana. En 2019, j’ai reçu mon diplôme en Beaux-Arts de la School of Visual Arts de New York, où j’ai obtenu la bourse Suzanne Anker pour réussite exceptionnelle. J’expose mes œuvres à New York, au Mexique et au Canada. Il prépare son premier long métrage, I Used To Play In Bands Now I Do This Solo (I Don’t Need Bands I Just Need You Baby). edgaralangenio@gmail.com Hypercontemporaneity.comVoler ce pixel
Le solitaire pixel animé présenté dans cette exposition est le pixel très original et historique qui était d'abord central aux trois œuvres d’art, mais qui a aussi signifié trois choses différentes dans ces œuvres de net-art de 1996 et 1997 ; Metablink: http://www.ljudmila.org/~vuk/metablink/metablin.htm Jodiblink: http://www.ljudmila.org/~vuk/jodiblink/ Compressed History of Film: http://www.ljudmila.org/~vuk/pixel/ L'idée générale de lo-tech net.art était d'aller dans la direction opposée du courant dominant des électroniques grand public. (résolutions plus élevées, appareils plus puissantes, transfert de fichiers plus rapide…), tout en inventant et en proposant des nouvelles significations. Les intentions cachées étaient et doit toujours être un bon vecteur pour le virus de la liberté. Vuk Ćosić est reconnu comme l'un des pionniers fondateurs du net.art, le dernier mouvement d'avant-garde du vingtième siècle.Xavier Dallet dit Chan Somethingstar, est un net artist, né le 05/08/80 à Villeneuve sur Lot dans le sud ouest de la France, après une enfance à Dakar, il déménage en Normandie où il étudie d'abord avec Jacques Pasquier, son mentor en peinture, puis fait ses études par la suite dans les écoles d'art de Caen (1994-97), Cherbourg (2001-03), Le Havre (2004-07), il s’installe à Paris en 2006 et fait l'école de photographie Efet (2015, Paris).
Depuis son enfance, Xavier vit puis étudie autour d'un sentiment, mêlant mystique et fantasmes sur la vie. Cela à travers plusieurs périodes artistiques, la peinture, la composition éphémère d'objets et d'un ready-made en photographie. Au cours de son étude sur le ready-made en photographie, un jouet, une petite machine à laver (de Paris à Rabat de 2006 à 2014), il s'est rendu compte que son objet d'étude concernait sa présence sur le net, tel un avatar en 2009-10, à partir de cette découverte, il a arrêté son activité de peintre et progressivement de plasticien également, dans le sens où depuis son apprentissage de la photographie à l'école Efet, internet était le support, le pinceau, afin d'explorer son sentiment. Depuis 4 ans, engagé dans deux collectifs d'artistes, Le Baobab et les Perfect Users, il étudie son activité artistique à travers principalement «Messenger», autour d'échanges éphémères sur deux thèmes : la composition de la colonne et le jeu avec des images de la culture populaire. Ainsi, après deux ans d'un échange de plus de 200 000 images avec le Baobab, il se consacre pendant une année à l'étude du phone art avec 700 vidéos de moins d'une minute. Xavier réalise des collages numériques grâce à ses réseaux sociaux en explorant son propre sentiment d'existence ou de non-existence. Il utilise les réseaux comme un miroir de créations éphémères à sa propre condition. Et applique l'inverse de l'art, une réalité à la seconde parce que le net n'a pas de mémoire. Instagram: @chan_somethingstar
Rachel de Joode est une artiste multimédia berlinoise d’origine néerlandaise. Elle mélange les disciplines artistiques comme la photographie, la sculpture et plus, récemment, la peinture. Une grande partie de son travail oscille entre le physique et le virtuel, explorant la relation entre l’objet tridimensionnel et sa représentation bidimensionnelle.
Mme De Joode a obtenu son diplôme en moyens d’expression temporels à la Gerrit Rietveld Académie à Amsterdam. Elle a reçu la Deutsche Börse Residency au Frankfurter Kunstverein de Francfort (2013) et la résidence Sculpture Space (2012). Elle a fait un séjour d’artiste en résidence au LMCC Governors Island (2013 – 2014) à New York. Elle a bénéficié de financement provenant du fonds Mondriaan, du Berliner Senat, du Prins Bernhard Cultuur Fonds et de l’ambassade royale des Pays-Bas. Ses œuvres ont été exposées partout dans le monde, dans des expositions collectives et individuelles, notamment à l’ICA de Philadelphie (É.-U.); au Henie Onstad Kunstsenter à Oslo (Norvège); au ZKM à Karlsruhe (Danemark); au Musée d’art contemporain de Rome (Italie) ; à la Biennale internationale d’art contemporain de Göteborg (Suède); à Kunstverein Nürnberg (Danemark) ; à Kunstfort Vijfhuizen (Pays-Bas); à la Galerie Christophe Gaillard à Paris (France); à Interstate Projects et à Higher Pictures, à New York (É.-U.). Mme De Joode enseigne la photographie matérialisée à l’ECAL (École cantonale d’art de Lausanne).En 1996, j’ai créé une série de tableaux à l’huile traditionnels faisant référence à des représentations médiatiques de personnes en servant la première vague de technique de réalité virtuelle. En 2018, j’ai commencé une nouvelle série d’études à l’aquarelle d’un format plus petit représentant des personnes impliquées dans la deuxième vague de réalité virtuelle. Je demeure fasciné par notre adhésion enthousiaste et notre adaptation aux technologies d’interface actuelles – mais la réalité virtuelle reste très délicate, coûteuse et peu pratique à utiliser. Ces peintures traduisent un moment numérique en un artefact analogue de ce moment.
Je suis daltonien et c’est ce qui m’a inspiré, entre autres, pour entreprendre cette nouvelle série de peintures grâce à l’acquisition de verres correcteurs daltoniens. La peinture a toujours été un défi et ces nouveaux verres m’ont littéralement ouvert les portes de ce monde. Ils sont devenus, en quelque sorte, le mécanisme qui m’a connecté à une nouvelle réalité de la couleur (porter un autre type de casque si vous voulez – mes lunettes)… Originaire de San Francisco, Joseph DeLappe s’intéresse aux intersections de l’art, de la technique, de l’engagement social/activisme et des stratégies interventionnistes explorant nos contextes géopolitiques. Travaillant avec l’électronique et les nouveaux médias depuis 1983, ses travaux sur la performance de jeu vidéo en ligne, la sculpture et l’installation électromécanique ont été présentées aux États-Unis et dans le monde entier. Les travaux créatifs et les actions ont été largement présentés dans les revues savantes, les livres et les médias populaires. En 2016, son œuvre Killbox a été mise en lice pour l’obtention d’un prix de la BAFTA (British Academy of Film and Television Arts). En 2017, M. DeLappe a reçu une bourse Guggenheim. M. DeLappe vit à Edinbourg, en Écosse. Il est professeur de jeux et de médias tactiques à la School of Arts, Media and Games de l'Université d'Abertay.Chris Dorland (Canada/États-Unis) travaille à l’intersection de la peinture et des médias numériques. En mettant l’accent sur l’examen des façons dont les technologies de surveillance perçoivent, enregistrent et reproduisent la réalité, M. Dorland utilise une variété d’écrans, de drones et d’autres dispositifs optiques pour explorer les frontières de plus en plus ténues entre les environnements physiques et numériques, les réalités réelles et virtuelles.
M. Dorland élabore une fusion unique des langages analogues et numériques en une esthétique à la fois singulière et dense, d’une beauté inattendue et d’un chaos extrême. Ni totalement abstraits ni fonctionnellement représentatifs, ses travaux nous permettent d’appréhender la force des technologies intrusives alors qu’elles déforment et perturbent de plus en plus notre compréhension de la réalité. Les peintures et vidéos de M. Dorland sont une méditation obsédante sur la vie contemporaine qui évoque une vision dystopique du monde construit par l’homme à travers la violence sublimée de l’abstraction, du consumérisme et de la technologie.Negin Ehtesabian Artiste visuel, illustrateur et graphiste
-BA en communication visuelle, Université de Téhéran, Iran -Animation, l'University of the West of England (UWE), Bristol, Royaume-Uni Mme Ehtesabian a publié plus de 30 livres d’images en Iran, dont certains ont été traduits et publiés à l’échelle internationale. En art visuel, elle se concentre sur les projets d’art interdisciplinaire contemporain, l’illustration, les médias numériques et la conservation. Ses domaines d’intérêt sont la nature humaine, la littérature, la psychologie, l’expression de soi, l’environnement, l’art-thérapie et la musique visuelle. neginete.comPatrick Lichty (1962) est un artiste, écrivain, conservateur et éducateur basé à Winona, au Minnesota. Il explore l’impact de l’art et de la technologie sur la société, l’esthétique et la façon dont nous traduisons la réalité par le biais des médias technologiques. Il est titulaire d’une maîtrise en art numérique de Bowling Green University.
Marié à l’artiste iranienne Negin Ehtesabian, il forme NPT/Ehtesaabian-Lichty qui réalise des travaux sur les droits de l’homme et les échanges interculturels. Depuis 30 ans, M. Lichty expose de nouveaux médias dans de nombreuses galeries, dans le cadre d’exposition ou en collaboration avec RTMark, Second Front, Manifest.AR, The Yes Men et Pocha Nostra. Il est titulaire d’une bourse Herb Alpert et a participé aux Bi/Trienniales de Whitney, de Venise, de Maribor et de Yokohama. Actuellement, il collabore à la communauté Techspressionism.com. Twitter: @patlichty_artTokonoma est une pièce interactive en ligne. Un tokonoma est une alcôve dans les maisons japonaises traditionnelles dont on se sert pour afficher des ikebanas (arrangements floraux) et d’autres objets d’art que les invités peuvent admirer. Les tokonomas peuvent changer selon les saisons ou à la discrétion du créateur.
S’inspirant de la pratique réelle d’ikebana de Mme Frazer, cette œuvre explore la question de ce à quoi ressemblerait une habitation numérique. Contiendrait-elle des objets précieux ou ayant une valeur sentimentale que l’on aimerait montrer aux visiteurs? Le logiciel, Tokonoma, a été développé par Mackenzie Davidson. Katherine Frazer est une artiste qui travaille avec la peinture et l’assemblage numérique. Sa pratique artistique se réfère à la déconstruction et la reconstitution de l’expérience vécue par les techniques. Ce travail s’inspire de sa pratique de l’ikebana, des exemples des maquettes 3D et des photos recueillies sur son iPhone.Artiste de fond étoilé travaillant avec Internet, la lune et le soleil. (Traduction faite par Google)
B,L,E,E,D,I,N,G recible une collection de fonds d’écran d’anciens sites Web et les transforme en vidéo scintillante psychédélique. Contrairement à un écran clignotant minimaliste, ce scintillement maximise les fonds d’écran déjà excessifs en les superposant dans un délire accablant. Pour chaque trame vidéo, l’algorithme décide quelles parties de l’image originale seront conservées et lesquelles seront subsumées sous le nouveau motif.
Faith Holland est une artiste, commissaire, critique et professeure. Sa pratique artistique multimédia est axée sur la théorie du genre, l’intimité et la technologie. Dans les œuvres qui expriment les négociations entre les relations physiques et celles qui résident dans les individus avec les techniques numériques, Mme Holland utilise des mesures égales d’humour et de tendresse. Le collage constitue son outil principal, comme une tactique unificatrice à travers les médias. Les œuvres de Mme Holland prennent diverses formes, dont la sculpture, la performance, la vidéo, les GIF animés et le net-art. Elle a exposé ses œuvres dans divers endroits, notamment The Whitney Museum of American Art (New York), NRW Forum (Düsseldorf), Fotografisk Center (Copenhague), Boulder Museum of Contemporary Art (Boulder), Human Resources (Los Angeles), et DAM Gallery (Berlin). Son travail a été abordé dans des publications telles que Artforum, leNew York Times, leNew Yorker, leSunday Times UK, Elephant, Hyperallergic, Broadly, et le Observer. Elle compte parmi les finalistes pour l’obtention d’une bourse NYFA en art numérique/électronique. Elle a été artiste en résidence au Jamaica Centre for Arts and Learning and Harvestworks et finaliste pour Post-Photography Prototyping Prize de Fotomuseum Winterthur. Elle a ouvert Hard/soft, sa troisième exposition solo à la galerie TRANSFER, en ligne et sur place, en 2020 ainsi que Touchscreen à L’Unique à Caen, France. Elle a reçu une bourse du New York State Council on the Arts en 2021Mon travail actuel a évolué à partir de 10 ans d'expérimentation avec les médias numériques. J'ai été très impressionné par la facilité avec laquelle je pouvais dessiner sur les premiers appareils iPhone et iPad, et la portabilité de ces outils me permettait de faire mon travail partout.
Mon intention est de construire un portail vers des paysages imaginés. L'amélioration de la technique m'a donné une myriade de façons d'y parvenir.. Mes tailles de fichiers sont actuellement grandes pour accueillir des impressions et des projets d'installation de taille murale pour les surfaces murales intérieures et extérieures. Une nouvelle technique générative me permet de créer des images en combinant des images générées à la main avec celles de l'IA Parce que je peins avec de la lumière sur une toile électronique, les couleurs sont profondément saturées, lumineuses et avec un miroitement voulu. J'aime utiliser la couleur de manière extravagante Pour m'inspirer, je surfe sur les vagues du métavers et je lis des œuvres de la littérature contemporaine. En travaillant, je ressens le mystère, la profondeur et l'immensité de notre cosmos. Les mondes que je crée consciemment divergent fortement du paysage urbain dans lequel je vis. Ils sont une tentative pour m'aider à noyer la statique et le bruit du cyberespace et de la ville. Je décris des états de sentiment et l'onirique et j'espère toucher les téléspectateurs dans leur cœur ainsi que dans leur esprit. En plus de mes animations numériques, je réalise des peintures sur toile électronique. Je crois vraiment que l'art appartient partout, et c'est l'une des raisons pour lesquelles je continue à poursuivre mon travail dans le domaine numérique. L'artiste visuelle Renata Janiszewska est née à Londres, en Angleterre. Elle a obtenu un baccalauréat en beaux-arts de l'Université de Toronto et a poursuivi ses études en art expérimental à l'Ontario College of Art & Design University. L'art de Renata Janiszewska naît d'une passion pour la ligne et la couleur. Elle a créé des œuvres dynamiques dans divers médias, avec une concentration sur le dessin. En 2010, elle oriente sa pratique vers le numérique et peint désormais presque exclusivement sur toile électronique. Son travail numérique a été examiné dans le Globe and Mail. C'est une penseuse et une rêveuse en couleurs. Janiszewska vit à Toronto.Dina Kelberman est une artiste multimédia qui travaille à Los Angeles, en Californie. Son œuvre naît d’une tendance à jouer avec les médias banals qui composent son quotidien : recherche Google, YouTube, télévision, Internet. Elle a créé des œuvres originales pour le New Museum et la Marina Abramovic Institut et a participé à de nombreuses biennales internationales. Son travail a été discuté dans The New York Times, Art21, NPR, Known and Strange Things (Cole, 2016) et ailleurs. En 2019, elle a terminé sa première vidéo long métrage de recontextualisation, The Goal Is To Live. Elle est classée 5e au monde pour avoir réussi à réaliser le plus grand nombre de lignes dans Tetris pour Nintendo.
Unfinished explore la frustration, le désespoir, le ressentiment, la colère, le droit et l’auto-indulgence. Veuillez faire un don pour financer cette œuvre d’art importante.Margarethe Kollmer est une artiste plasticienne qui vit à Berlin. Dans son travail, elle traite des relations entre les médias, le pouvoir et les affects. Sa pratique est influencée par la psychanalyse, le cinéma et la publicité. En utilisant le reformatage, la manipulation numérique et le langage pour créer des scénarios semi-fictifs, elle met en place les situations dans lesquelles le spectateur est impliqué.
En tant que réalisatrice de matériel tiré de circuits de production de contenu, Margarethe utilise des fragments anonymisés d’expressions personnelles et des pièces de théâtre culturelles pour créer des gestes fragiles de la réalité émotionnelle, lesquels sont simultanément remis en question. Ces instances composées d’un bassin de ressources et d’expériences partagées sont à la fois génériques et intimes. À l’aide d’un humour laconique et de l’ambiguïté, elle crée intentionnellement des sentiments contradictoires, mêlant public et personnel. Au centre de son travail se trouvent une discussion sur la dissolution violente et la création de sujets qui ont du mal à se former face à leur objectivation et à leur marchandisation continues; un drame négociant l’ordre des regards. The Thing Is, est une série d’animations 3D semi-fictives qui associent des images transférées de pornographie sur Internet à des fragments de texte de messages de blogues demandant de l’aide. Les effets surréalistes sont le fruit de la traduction de la matière, de la renégociation des limites des corps et des significations distinctes. Des images supplémentaires sont extraites de parcs publics, représentant l’espace public sous sa forme physique. Les figures anthropomorphes demeurant complètement immobiles, la caméra est le seul acteur. De cette manière, le travail examine les questions d’agence dans un environnement hypersurveillé.courtoisie de left_gallery, Berlin
Mikelle Männiste est une artiste montréalaise qui utilise divers médiums, dont la peinture, le dessin, l'animation vidéo et la performance.
Mon projet actuel explore comment des sujets plutôt sombres, tels que la mort et la violence, peuvent être rencontrés en naviguant internet. En 2012, alors que la recherche du meurtrier Luka Magnotta était en cours, certains de mes camarades de classe de l'école secondaire m'ont dit qu'ils avaient trouvé la vidéo dégueulasse que Magnotta avait prise de son meurtre de Jun Lin. Depuis ce meurtre, quelques événements violents semblables ont été filmés ou diffusés en ligne et partagés peu de temps après sur des sites vaguement modérés comme Liveleak ou 4chan. Vu que les médias de réseautage social sont les sites les plus fréquentés d'internet il y a eu plusieurs messages publiés de violence extrême et même des films à priser, le tout supprimé peu de temps après. Évidemment, tout cela est invariablement suivi par le phénomène où les gens essaient de retrouver le média supprimé. Cette oeuvre représente comment ce genre de contenu est caché aux parties les plus profondes du Web, en dessous ce qui peut sembler à première vue un lieu de collectivité et de partage.Jaime Martínez (n.1978) est un photographe et artiste visuel mexicain. Il vit et travaille dans sa ville natale, Monterrey, au Mexique.
Son œuvre est principalement axée sur les portraits et les paysages. Depuis 2008, il se spécialise en réalisant des photographies animées qui expriment un mélange coloré et vivant de techniques analogiques et numériques. Ses GIF animés ont été largement exposés en ligne et hors ligne depuis l’ère Tumblr. Dernièrement, il a créé et vendu son art en forme de NFT sur des plateformes comme KnownOrigin et Foundation.La fantaisie fait son chemin dans nos expériences quotidiennes. Les illusions venant de jeux vidéo, par exemple, minent progressivement nos systèmes de croyances. Les changements dans la rhétorique politique perturbent nos sens de la morale et des valeurs. L’observation de telles pratiques m’a amenée à explorer le carrefour entre représentations, jeu, réalité et mythe.
Bien que la tradition veuille que les mythes demeurent immuables, ils nourrissent plutôt les imaginations et divergent en interprétations personnelles chaque fois qu’ils sont partagés. Je crois que la langue est aussi vivante que nous le sommes. Elle prospère avec nous, changeant constamment en raison de nos luttes avec la communication; à mesure que la langue évolue, les mythes, histoires et légendes évoluent également. Lynn Millette travaille avec la peinture et les médias électroniques. Elle a une compréhension détaillée en matière de culture, notamment en technologie, philosophie, psychologie, littérature et sciences humaines. Mme Millette a présenté plusieurs expositions solos, plus récemment, Road Trip, à la Maison de la culture Janine-Sutto (Montréal) et Les Fenêtres dans l’eau, à celle de Notre-Dame-de-Grâce (Montréal). Les expositions de groupe récentes incluent Epicentre, Valence, Espagne, l’exposition principale de la 4e Wrong Biennale et Uncommon à la John B. Aird Gallery (Toronto). Site Web : lynnmillette.rsight.netSwipe (Tear Crush Swipe) - Lequel bruit fait les images? Une courte vidéo sur les rencontres, les choix et les responsables, avec tout ce qu'on peut ressentir. Une douzaine de livres photo d'une page de Wall Street à New York, un arbre à Berlin et un chat Pixel perdu à Montréal, fait en déchirant du papier architectural en feuilles puis pliées en livrets d'une page puis ensuite gâchée dans un photocopieur et glissé. Une coproduction humaine/BHL-L3280 CDW
Petra Mueller se sert des médias expérimentaux et les rend plus expérimentaux. « Mme Mueller a réalisé des œuvres expérimentales qui défient les conventions standard de la technique de l’image, des médias et du genre. Elle lance un défi aux complaisances de la libération des arts », Anteism Gallery Project Space, Montréal 2021. Elle a reçu une bourse du Fonds de recherche du Québec – Nature et technologies (anciennement FCAR) et une Bourse de recherche J.W. McConnell. Son travail est conservé dans des bibliothèques et des collections universitaires et muséales.Martine Neddam est une artiste qui utilise le langage comme matière première. Les actes de langage, les modes d’adresse, la parole dans l’espace public, telles sont les thématiques qui alimentent son oeuvre dès l’origine. À partir de 1988, elle expose des objets porteurs de textes (bannières, plaques gravées, ombres sur le mur) dans des galeries et des musées. Elle a aussi réalisé de nombreuses commandes publiques dans plusieurs pays d’Europe: Pays-Bas, Grande-Bretagne, France.
Depuis 1996, elle crée sur internet des personnages virtuels qui mènent leur existence autonome d’artistes, sans jamais qu’elle ne se manifeste comme leur auteur. Mouchette, depuis 1996 et toujours actif et participatif à ce jour, personnage-culte qui échange avec ses visiteurs au moyen de narrations interactives. Elle a aussi crée David Still (2001) qui offre son identité aux internautes de passage, XiaoQian, (2006) artiste chinoise, elle-même créatrice de personnages virtuels, Madja Edelstein-Gomez (2019), une commissaire d’exposition sur internet, qui invite de nombreux artistes à exposer en ligne dans son interface. Elle a conçu des plateformes de création participatives telle que VirtualPerson ou MyDesktopLife logiciels créatifs partagés avec le public en ligne. Elle a exposé entre autres à La Biennale de Montréal (2011), Whitechapel Gallery (London, 2016) au ZKM | Center for Art and Media (Karlsruhe 2019) au Stedelijk Museum (Amsterdam, 2020). https://neddam.info/ Nikos Voyiatzis est un artiste, archiviste, un media designer et un éducateur. Son travail explore l'organisation des informations dans ses dimensions politiques et esthétiques et concerne l'archivage en ligne, les cultures en réseau et l'héritage culturel du numérique. Ses récents projets sont: Espaces hypersubjectifs, une préservation speculative du folklore digital créé par les usagers depuis 2011, Archives en Transit: du monde des bibliothèques jusqu'à l'Intelligence Artificielle, une série de workshops et de kits educatifs pour Arts Electronica et OCC Athènes, Des archives communautaires au folklore post-digital une recherche artistique sur l'archivage communautaire des arts mediatiques présentée à la Biennale des Balkans de l'Ouest. http://thereisamajorprobleminaustralia.com/ Martine Neddam et Nikos Voyiatzis collaborent depuis plusieurs années à la préservation de Mouchette.org. Ils ont découvert des vidéos fan et des captures d'écran de Mouchette.org sur Youtube. Ils les ont conservés et les ont situés dans le contexte de l'art. Andres Manniste a contribué des sous-titres au projet. Neddam et Voyiatzis croient profondément que les créateurs de ces vidéos méritent une partie des crédits d'auteur pour la création du personnage appelé Mouchette.Nico est un artiste philippin qui travaille avec l'intermédia. Iels sont situés à Honolulu, Hawai'i où iels jouent dans l'espace liminal où le corps disparaisse et le monde extérieur commence.
Inspiré par le trans-humanisme, les bootlegs et les pensées perdues dans la traduction, iels abandonnent le but recherché afin de réévaluer notre relation avec les outils et les arènes, tels qu'internet.Elisabeth Nicula est une artiste et écrivaine de Norfolk, en Virginie. Elle s’intéresse aux faits de voir et d’être vue par le monde non humain, aux échelles abstraites d’espace et de temps, à la poétique et à la mémoire.
Smooth Friend est mon projet d’édition expérimentale. The Dart est un essai photographique sur l’écologie de la salle de bain de mon appartement, pour Facility, 2021. Frank’s Corpus est un essai sur mes archives photographiques de corps d’oiseaux, pour l’Open Space de SFMOMA, 2021. Robin Sloan a écrit à ce sujet dans son Bulletin de la salle de lecture ♥.
J’ai visité tous les salons Living Room Light Exchange de la saison 2019-2020, IRL, quand c’était encore possible, et les deux derniers en ligne; j’ai rédigé un article sur ce à quoi cela ressemblait pour Rare Earth: The Ground is Not Digital 2020. Under the Road est un fantasme dévastateur avec des GIF et des souvenirs de tatouages, pour Silica Magazine, 2020. March 27, 2020 est un extrait de blogue sur une intimité inattendue de la quarantaine, publié dans Urgency Reader 2, 2020. Have You Seen This Bird est un essai sur l’amitié avec un oiseau sauvage gratuit, dans New Life Quarterly, 2019.
Orange est un artiste britannique né à Newcastle qui vit à dans le quartier sud-est de Londres. Il s'intéresse particulièrement aux logiciels libres, au véganisme, à la sousveillance/surveillance, aux identités numériques et à la couleur orange. Les œuvres d'Orange traitent de domaines tels que la répétition, la réutilisation des données, la sécurité de l'information, les identités numériques et la répétition. https://reveb.la
Stephen Paré est le fils d'un physicien nucléaire et d'un enseignant en troubles d'apprentissage. Il a grandi sur une crête boisée à Oak Ridge, Tennessee. À l'école, ses camarades de classe étaient les enfants de scientifiques et les petits-enfants de mineurs de charbon. Il détient des diplômes en littératures allemande et anglaise, en musique et en technologie électronique, ainsi qu'un MFA en arts visuels en atelier.
Il crée des œuvres d'art sur des appareils mobiles et écrit des fictions flash pour accompagner certaines d'entre elles. Il est l'auteur d'un livre d'environ 120 histoires et 500 images, The Avid Diver. Son site d'art est https://www.stephenpare.art.Cristina Planas est une artiste multidisciplinaire qui travaille par le biais de la vidéo, de la performance, de la photographie, de la sculpture et de divers médias en deux dimensions. Elle travaille sous le surnom de Femme Brutale, une identité de performance créée lorsqu’elle a commencé à participer à des championnats nationaux et internationaux de boxe.
Elle crée des performances vocalisées narratives comme une forme de cinéma élargi qui déconstruit le personnage en moi et le moi. Elle explore le corps comme vecteur de connaissance. Ses films d’essais qui ressemblent à des journaux intimes explorent la création de mythes et les significations et temporalités queers à travers le temps et l’espace.Cristina Planas divise son temps de travail entre Montréal et le Royaume-Uni où elle a obtenu son baccalauréat ès arts de la Slade School of Fine Art. Elle est championne nationale du Royaume-Uni de boxe dans sa catégorie et a remporté l’or à la Women’s Winter Box Cup, en 2018, et aux Golden Girls Championships de Suède.
Me Planas travaille à son premier long métrage Femme Brutale™ avec le soutien du Conseil des Arts du Canada.
Chantal Rousseau explore son engouement pour la culture populaire et la nature dans une pratique artistique où se croisent la peinture et la vidéo d’animation.
Elle a exposé ses oeuvres au Canada et à l’étranger, y compris entre autres : Hallwalls Contemporary Arts Centre, Buffalo; Canadian Cultural Centre, Paris; The New Gallery, Calgary; Latitude 53, Edmonton; Mercer Union, Toronto; and La Centrale, Montréal. À l’automne de 2020 elle a eu une exposition solo au Agnes Etherington Art Centre à Kingston, Ontario. En 2020 elle a également reçu deux commandes d’art public temporaire, l’une pour la ville de Kingston, et l’autre pour le parc Erindale à Mississauga. En 2021 elle a participé à une résidence d’artiste virtuelle internationale sous la direction du conservateur Abir Boukhari; il y a eu trois expositions à la fin de la résidence, une au Platform centre for photographic + digital arts à Winnipeg, une àAllArtNow à Stockholm, et une à Hangar à Barcelona. En 2021 elle a créé une exposition d’animations EXPO-MOTEL en collaboration avec deux artistes locaux, au motel Le Nordet à Saint-Georges-de-Malbaie au Québec. Elle vient de finir un stage d'artiste-en-résidence de trois mois avec 4elements Living Arts sur l’île de Manitoulin en Ontario..Pour en savoir plus, visitez : www.chantalrousseau.caTo Let the Shape Announce the Filling réutilise la tromperie attendue des mèmes de coupe de gâteau et la mélange avec la satiété sensuelle de l'ASMR (réponse autonome sensorielle culminante). En coupant des beignets et en les divisant en garnitures pâtissières, les expressions familières commencent à se heurter et les concepts de « réel » tombent au bord du chemin. Des formes d'identification à la fois obligatoires, synthétiques et performatives repoussent les limites de la catégorisation. Et si notre futur radical existait déjà ?
Sydney Shavers est une artiste dont l’œuvre évalue la (re)formation de notions préconçues et de concepts de valeur. Son travail utilise un camouflage trompeur pour infiltrer les systèmes à travers des supports à la fois numériques et « dans la vie réelle », avec le but d’exposer les façons dont le pouvoir construit la compréhension, joue un rôle de médiateur de la perception et prescrit des limites à la réalité. Elle utilise des médias viraux influencés de façon hybride avec des références historiques de l’art dans ses œuvres d’art de la performance pour offrir une pause dans la compréhension de ce que nous prenons au sérieux et de ce que nous choisissons d’ignorer. L’œuvre de Mme Shavers a été exposée à l’échelle nationale et internationale dans des lieux tels que Catskills NY Gallery à Tribeca (A Gathering), Hauser & Wirth à Chelsea (We Were Already Gone), Ikattha Space in Mumbai, Ikattha Space à Mumbai, et des espaces en ligne comme Transfer Gallery & left.gallery's exposition, Pieces of Me. Sydney Shavers vit et travaille à New York.Molly Soda (Amalia Soto) est une artiste qui travaille à Brooklyn, New York. La quasi-totalité de son travail se déroule en ligne, car elle utilise une variété de médias sociaux pour héberger son travail, permettant ses oeuvres d'évoluer et d'interagir avec les plates-formes sociaux internet eux-mêmes.
Soda crée des vidéos, des .gifs animés, des installations, des sites Web et des jeux vidéo qui abordent des concepts liés à la performance de soi-même, à la mémoire, aux aspirations et à la culture de consommation. Dépotoir de bureau (2020-en cours) est un projet en cours d'archivage et de pratique artistique où Soda télécharge le contenu de son écran d'ordinateur sur une page Web avant de nettoyer/organiser les icônes de son bureau. Chaque vidage de bureau, qui se produit généralement tous les mois à quelques mois, devient un collage/journal intime. L'écran d'un ordinateur personnel est un espace privé, une partie arrière que quelqu'un d'autre ne peut jamais voir. Qu'est-ce que le contenu d'écran nous dévoile sur nous?Kate Steciw travaille avec le collage numérique et analogique.
Des expositions solos de son travail ont été présentées au Neumeister Bar-Am à Berlin (Things of Shapes, 2016), à la Brand New Gallery à Milan (Shapes of Things, 2016) et à la Retrospective Gallery à Hudson, New York (2015). Son travail a également été inclus dans Dense Mesh (2016) chez Caroll/Feltcher à Londres, Not A Photo (2015) chez The Hole à New York et Under Construction – New Positions in American Photography (2014-15) chez Pioneer Works à New York et Foam à Amsterdam. Mme Steciw a présenté deux expositions solos avec Higher Pictures (2014 et 2016). Son travail se retrouve sur la couverture de la publication de Charlotte Cotton, Photography is Magic, publiée par Aperture en 2015. Elle vit et travaille dans le bois.Si les lieux de l'internet sont artifice, alors le langage est le substitut et il est muté, c'est l'art.
L'art, c'est traverser les rêves que les autres nous offrent. Faites un son, c'est un lieu. Un lieu nommé est un lieu créé. Nous chantons et nous nous nommons dans l'existence et codifions notre expérience en rêves, en réalités parallèles. Le langage est codifié et caché, créatif et illusoire, présent et en mouvement. Le mot est l'endroit que vous portez avec vous. Nous nommons et chantons nos mondes dans l'existence. Les amplitudes et fréquences de nos paroles, de nos chants, deviennent lieu et temps. C'est un énoncé donné forme. La pratique intermédia de Jan Swinburne traite les médias numériques et physiques. Ses intérêts se concentrent sur la reconnaissance de formes en tant que chemins vers le sens par l'audio-visualisation matérialisée, en tant qu'objets et images en mouvement, sous diverses formes de dé/re/génération.Cynthia a commencé à dessiner à l'âge de 2 ans. Alors qu'elle était à école secondaire, son professeur d'art lui a donné une phrase d'instruction : « tenez le crayon comme si vous signiez votre nom ».
Ses professeurs ont constaté que son style de dessin était unique et l'ont baptisé Lundism et lui donnaient sa première exposition solo à l'âge de 16 ans.Au début, Cynthia a cherché un emploi dans le travail social, mais la création artistique demeurait toujours une partie de sa vie. Pendant qu'elle travaillait comme assistante psychiatrique, elle commençait à faire des portraits de ses clients. Beaucoup de ces personnes étaient non parlantes avec les difficultés cognitives. Mais ils étaient heureux de poser pour un portrait pour Cynthia et réagiraient avec une joie et une reconnaissance pures à ses résultats. La clinique où elle travaillait l'a mis au défi en lui demandant si elle voulait concevoir des annonces publicitaires pour l'entreprise. Cela lui a conduit éventuellement à une carrière exceptionnelle dans l'art commercial. Cynthia a complètement arrêté de dessiner pendant quinze ans mais elle a soudainement recommencé à dessiner à l'âge de 33 ans, lorsqu'elle créa Heliotroped. Elle a fait dix dessins cette première année, tout dans le même style, quand tout à coup en 1991, elle a dessiné Cacophony où les aspects de sa manière à dessiner fut plus normalisé. Elle a continué dans ce style de dessin depuis, bien qu'elle soit reconnue de plonger directement dans d'autres médiums qu'elle n'avait jamais d'habitude, comme la peinture, le collage, la sculpture et la vidéo. Les oeuvres d'art de Cynthia Lund Torroll ont été acclamées par la critique, ont été largement exposées, ont été accordées les honneurs et ont été collectionnées à l'échelle internationale. Par son travail elle se concentre sur sa fascination d'être à la fois un être physique et spirituel. Dans cet équilibre délicat, elle explore les énergies magiques et les mystères qui en résultent.TTY est un artiste plasticien. Il développe conjointement deux problématiques : l’une à propos de l’évolution de l’espèce humaine, l’autre concernant la nature de l’acte artistique et son devenir par l’intégration des outils de création virtuelle. Son objectif : questionner la dématérialisation physique comme tendance majeure du monde contemporain.
Son travail est centré sur la photographie, la photographie virtuelle, la photographie en 3D, la sculpture, l’impression 3D, la Réalité Virtuelle et l’art numérique.Il vit et travaille en France.
Ce qui change, c’est notre représentation de la représentation. Vouloir entrer dans une représentation virtuelle, c’est annoncer le post-humain
Luyuan Zhang est un artiste multidisciplinaire qui travaille à Melbourne, en Australie. Nés en Chine en 1995, iels ont ensuite déménagé à Melbourne en 2014.
Ig Advert (2020-21.1) est une continuation de mon travail de synthèse d’études supérieures Ig Advert (2020). Ig Advert (2020-21.1) est une documentation vidéo et une appropriation des publicités d’Instagram ramassées entre 2020 jusqu’à la moitié de 2021. Les critères de sélection de ces publicités reposaient sur les intentions menant à leur conception et comment ils pourraient être consommés dans un marché néolibéral. Ce projet étudie comment nous sommes exposés et interagissons avec des algorithmes complexes de marketing. Parfois, ces interactions semblent manipulatrices, offrant des promesses trompeuses de récompenses virtuelles. Parfois, la publicité commanditée peut interrompre le public et exiger toute son attention, devenant incontournable ou nécessitant peu de temps avant de conclure. De plus, certaines publicités Instagram autorisent les commentaires ou contacts directs avec le téléchargeur, engendrant des réseaux virtuels uniques. L’œuvre rassemble ce genre de contenu publicitaire et les sépare du contexte original tout en mettant en lumière le vide de leur création. Ig Advert (2020-21.1) inclut une présentation plus concentrée des publicités sur les réseaux sociaux en 2020 afin de présenter un glissement de stratégie publicitaire dès le début de panique initiale à une mentalité post-pandémie de Covid.
Andres Manniste travaille avec les technologies de communication depuis 1993. Il a toujours intégré ces environnements technologiques et critiques dans ses projets. Il a participé à de nombreuses expositions individuelles et collectives au cours de sa carrière. Ses toiles se retrouvent dans plusieurs collections privées et publiques, dont le Musée d'art contemporain de Montréal, les collections patrimoniales de la Bibliothèque nationale de Québec et la Banque d'art du Conseil des arts du Canada.
Parmi ses projets en tant que commissaire précédents, citons: Peregrination (la Biennale Wrong, 2019, Trade/Gift/Purchase: Artists Collect (2015), Galerie Warren G. Flowers, Montréal; Interference: Audrey Davis, Jinny Yu and Christina Mancuso (2004), Galerie Warren G. Flowers, Montréal. andresmanniste.rsight.net